Skip to main content

Médecins au privé: des garde-fous sont nécessaires

L’AMC a publié ses recommandations pour maintenir un équilibre entre public et privé et garantir un accès équitable au système de santé.
17/06/2024
un médecin discute avec sa patiente dans son cabinet

Le ministre de la Santé Christian Dubé l'affirmait en mai dernier lors du congrès Première Ligne en santé: il ne faut pas ostraciser le secteur privé. Nombre de médecins québécois semblent l’avoir pris au mot. 

Ils n’ont en effet jamais été aussi nombreux à quitter le secteur public pour le privé. Selon des données préliminaires de la RAMQ, 780 omnipraticiens et spécialistes sont actuellement recensés comme «non participants ou désengagés», et ne facturent donc plus la régie publique pour leurs services. C’est la plus forte augmentation annuelle jamais enregistrée, avec une hausse de 22% par rapport aux 641 recensés l’année dernière, à en croire le quotidien anglophone The Gazette

Connectez-vous pour poursuivre la lecture de l'article:

Se connecter

Vous n'êtes pas encore inscrit(e) à ProfessionSante.ca?

Faites-le dès maintenant. C'est gratuit!

S’inscrire
X
This ad will auto-close in 10 seconds